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La clémentine
Apparue à la fin du XIXe siècle, c'est le Révérend Père Clément qui la découvrit au milieu des mandariniers d'un orphelinat en Algérie dont il était directeur de culture.
Il s'agit de la fille "naturelle" de la mandarine et d'une orange amère (la bigarade). C'est donc un hybride asperme, qui ne peut pas se reproduire, ce qui explique la rareté de ses pépins.
En Europe, la clémentine est principalement produite en Espagne, en Corse et en Italie.
N’étant pas tout à fait "déverdie", la clémentine Corse est parfaitement bonne, même si elle laisse apparaître, en début de saison, une légère coloration verte, par endroit. Cette coloration, due au climat très doux de la Corse, ne permet pas à la chlorophylle de se synthétiser complètement en pigment rouge ou orange mais cela ne nuit jamais au goût.
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Chaque jour de la semaine il a plu
Le ciel a été gris
Le froid humide s'est installé
Les ruisselets se sont gonflés d'importance
Les gouttières crachent le trop plein
Les dégâts ne sèchent pas!
Quelles autres photos puis-je vous mettre ?
C'est ma semaine!!
Bon week-end à tous.
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Communauté " petit coin de ciel " de chez Mary , clic, reprise par Chat Bleu , clic , et Arlette , clic .
J'ai rêvé samedi
Le regard émerveillé
D'un superbe ciel bleu
Qui m' a fait oublier , un instant
Les affres du moment !
Mais ,
Il y a toujours un mais .... pourquoi ?
La pluie a recommencé à tomber
Sans discontinuer , intense, froide
Depuis dimanche matin !
Tout est à recommencer!
Alors,
J'ai pris mon ciré , mes bottes
Pataugeant dans des piscines naturelles
Je suis allée à la rencontre des gouttes !
Belle semaine à vous tous .
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Nous avons vu cette fleur , ici , clic .
Au bout de son parcours , elle s'ouvre et permet aux graines de s'envoler .
Bon dimanche .
Désolée pour mon absence relative hier soir , mais j'ai dû " esponger " les débordements de la nature! Les dégâts ne sont pas catastrophiques mais ennuyeux , il faut du soleil maintenant pour sécher! Rions !
http://youtu.be/_xql9RuF02k
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Connu aussi sous le nom de balloonplant , ballon coton-brousse , les balles de l'évêque , usine de cygne, petite ouate, ouatier marron , arbre à papillons , faux cotonnier , Ti - ouete ( La Réunion ) est une espèce de l'asclépiade .
Cette plante est parfois l’hôte de la chenille du superbe papillon monarque qui se nourrit de son feuillage de forme très allongée rappelant celui d’un saule.
Ses fruits jaune verdâtre, parfois marqués de pourpre, sont sphériques et couverts de poils hérissés. Parvenus à maturité, ses fruits globuleux s’ouvrent et laissent échapper des semences facilement dispersées par le vent grâce à une touffe de petits poils soyeux attachée à leur extrémité. Nous verrons cela demain !
Pollinisée par plusieurs espèces d’insectes au moment de sa floraison, cette plante sert aussi de nourriture à la larve du petit monarque (Danaus chrysippus), un papillon de couleur orange et noire vivant en Afrique et en Europe du Sud .
La chenille du petit monarque se nourrit presque exclusivement de gomphocarpus et de certaines autres espèces d’asclépiades africaines pendant quelques semaines avant de se transformer en papillon.
Des alcaloïdes toxiques contenus dans cette plante rendent la chenille et le papillon toxiques ce qui les protège des prédateurs qui voudraient les dévorer. Ces mêmes alcaloïdes rendent le gomphocarpus peu attirant pour la plupart des insectes ravageurs. Il semble qu’il n’y ait que le puceron de l’asclépiade qui ose parfois s’attaquer à cette plante.
L ' envol des graines demain !
Belle journée .
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Tempête et calme ....
L'ombre
Suit
Sombre
Nuit ;
Une
Lune
Brune
Luit.
Tranquille
L'air pur
Distille
L'azur ;
Le sage
Engage
Voyage
Bien sûr !
L'atmosphère
De la fleur
Régénère
La senteur,
S'incorpore,
Evapore
Pour l'aurore
Son odeur.
Parfois la brise
Des verts ormeaux
Passe et se brise
Aux doux rameaux ;
Au fond de l'âme
Qui le réclame
C'est un dictame
Pour tous les maux !
Un point se déclare
Loin de la maison,
Devient une barre ;
C'est une cloison ;
Longue, noire, prompte,
Plus rien ne la dompte,
Elle grandit, monte,
Couvre l'horizon.
L'obscurité s'avance
Et double sa noirceur ;
Sa funeste apparence
Prend et saisit le coeur !
Et tremblant il présage
Que ce sombre nuage
Renferme un gros orage
Dans son énorme horreur.
Au ciel, il n'est plus d'étoiles
Le nuage couvre tout
De ses glaciales voiles ;
Il est là, seul et debout.
Le vent le pousse, l'excite,
Son immensité s'irrite ;
A voir son flanc qui s'agite,
On comprend qu'il est à bout !

Il se replie et s'amoncelle,
Resserre ses vastes haillons ;
Contient à peine l'étincelle
Qui l'ouvre de ses aquilons ;
Le nuage enfin se dilate,
S'entrouvre, se déchire, éclate,
Comme d'une teinte écarlate
Les flots de ses noirs tourbillons.
L'éclair jaillit ; lumière éblouissante
Qui vous aveugle et vous brûle les yeux,
Ne s'éteint pas, la sifflante tourmente
Le fait briller, étinceler bien mieux ;
Il vole ; en sa course muette et vive
L'horrible vent le conduit et l'avive ;
L'éclair prompt, dans sa marche fugitive
Par ses zigzags unit la terre aux cieux.
La foudre part soudain ; elle tempête, tonne
Et l'air est tout rempli de ses longs roulements ;
Dans le fond des échos, l'immense bruit bourdonne,
Entoure, presse tout de ses cassants craquements.
Elle triple d'efforts ; l'éclair comme la bombe,
Se jette et rebondit sur le toit qui succombe,
Et lé tonnerre éclate, et se répète, et tombe,
Prolonge jusqu'aux cieux ses épouvantements.
Un peu plus loin, mais frémissant encore
Dans le ciel noir l'orage se poursuit,
Et de ses feux assombrit et colore
L'obscurité de la sifflante nuit.
Puis par instants des Aquilons la houle
S'apaise un peu, le tonnerre s'écoule,
Et puis se tait, et dans le lointain roule
Comme un écho son roulement qui fuit ;

L'éclair aussi devient plus rare
De loin en loin montre ses feux
Ce n'est plus l'affreuse bagarre
Où les vents combattaient entre eux ;
Portant ailleurs sa sombre tête,
L'horreur, l'éclat de la tempête
De plus en plus tarde, s'arrête,
Fuit enfin ses bruyants jeux.
Au ciel le dernier nuage
Est balayé par le vent ;
D'horizon ce grand orage
A changé bien promptement ;
On ne voit au loin dans l'ombre
Qu'une épaisseur large, sombre,
Qui s'enfuit, et noircit, ombre
Tout dans son déplacement.

La nature est tranquille,
A perdu sa frayeur ;
Elle est douce et docile
Et se refait le coeur ;
Si le tonnerre gronde
Et de sa voix profonde
Là-bas trouble le monde,
Ici l'on n'a plus peur.
Dans le ciel l'étoile
D'un éclat plus pur
Brille et se dévoile
Au sein de l'azur ;
La nuit dans la trêve,
Qui reprend et rêve,
Et qui se relève,
N'a plus rien d'obscur.
La fraîche haleine
Du doux zéphir
Qui se promène
Comme un soupir,
A la sourdine,
La feuille incline,
La pateline,
Et fait plaisir.
La nature
Est encor
Bien plus pure,
Et s'endort ;
Dans l'ivresse
La maîtresse,
Ainsi presse
Un lit d'or.
Toute aise,
La fleur
S'apaise ;
Son coeur
Tranquille
Distille
L'utile
Odeur.
Elle
Fuit,
Belle
Nuit ;
Une
Lune
Brune
Luit.
Jules Verne