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En Tunisie , Djebba est une ville d’une très grande richesse naturelle mais aussi archéologique. Ce petit village perché est très connu pour la grande variété de ses arbres fruitiers mais aussi pour son superbe parc naturel.
Ce parc dispose de sources d’eaux, dont quelques unes en coulant se transforment en agréables petites cascades . Dans les escarpements de la montagne Djebel Gorra, on découvre plusieurs cavernes et grottes qui étaient habitées .
Les fouilles et les travaux de déblaiement continuent pour permettre d'accéder à ce site .
L' Homme et son compagnon l' Âne , sous le soleil torride , et dans un environnement escarpé , travaillent inlassablement .
Une asnée : La charge d'un asne, ce qu'il porte à chaque voyage. Une asnée de vin, une asnée de fruits. Ce mot n'est en usage qu'à la campagne, et dans les Provinces. L'asnée de vin à Lyon contient 80. pots de vin.
Combien de fois , en une journée , ont-ils tous les deux , ensemble , parcouru ce chemin pierreux et escarpé ?
Plusieurs études et recherches ont été menées pour déterminer la période et la localisation précise de la domestication de l'âne.
Il est communément admis que la domestication de l'âne remonterait à 5000 av. J.-C. dans la vallée du Nil.
Des chercheurs du CNRS du Laboratoire d'écologie alpine ont montré en 2004 par des études génétiques que c'est en Afrique du Nord-Est que l'âne commun aurait été initialement domestiqué.
Les ancêtres de l'âne commun seraient ainsi l'âne sauvage de Nubie et l'âne sauvage de Somalie.
En 2007, des dépouilles d'âne retrouvées dans une tombe égyptienne à Abydos ont montré des déformations caractéristiques de leur squelette, secondaire à leur utilisation comme animal porteur et qui n'existent pas sur les ânes sauvages.
L'âne est le premier équidé à être domestiqué et a ainsi été utilisé très tôt pour le transport des individus et des biens. Mais cette domestication est bien postérieure après celles du bœuf, du mouton et de la chèvre qui datent, elles, des VIIe et VIIIe millénaires av. J.-C.
Le cousin de l'âne, l'onagre, aurait été domestiqué à la même période en Mésopotamie pendant près de 3000 ans, mais cette utilisation a ensuite brusquement cessé, l'onagre étant aujourd'hui revenu à l'état sauvage notamment en Turkménie, en Iran et au Pakistan.
Il règne une superbe harmonie entre l'homme et son compagnon de travail.
RépondreSupprimerTrès beau.
Bonne fin de semaine
♥ Bisoux ♥
Ƹ̵̡Ӝ̵̨̄Ʒ thidom Ƹ̵̡Ӝ̵̨̄Ʒ
De très belles photos très émouvantes.
RépondreSupprimerDouce journée
Ils ont bon dos ces ânes , si j'ose dire ainsi , comme le dit Jackie photos émouvantes !
RépondreSupprimerBonne fin de semaine Andrée, bizz
Les yeux de l'âne sont expressifs, ah, s'il pouvait parler !!!
RépondreSupprimerMerci pour cette très belle page, si bien documentée, comme toujours.
RépondreSupprimerTes photos sont superbes et j'ai beaucoup aimé celles de l'âne et de son maître.
Bisous et douce journée.
Vraiment costaud la petite bête...
RépondreSupprimerL'âne, un animal travailleur et endurant.
RépondreSupprimerMerci pour ce reportage très intéressant.
Bises et bonne journée.
Ben tu vois toi aussi tu as été attirée par leurs regards !!!! bisous EVELYNE
RépondreSupprimerMerci pour tes explications !
RépondreSupprimerBisous Andrée
Bravo et Merci pour ce très bel article sur un des meilleurs animaux qui soit !
RépondreSupprimerBelle journée à vous,
Marie A
En regardant l'avant dernière photo, le petit âne m'a fait pitié, avec son "asné" plein de terre sur le dos. Merci pour ce documentaire sur nos humbles et travailleurs compagnons.
RépondreSupprimerBelle journée, bises erato
un grand travailleur, très utile en maint endroit peu accessible comme ici
RépondreSupprimerDe pauvres animaux très- trop- exploités. On voit bien que celui de l'avant dernière photo est épuisé .
RépondreSupprimerBises et bonne journée Erato
si ils n'avaient pas exister il aurais fallu les inventer ce bêtes à qui l'on demande tant et tant et qui travaille si dur!!!!! Bisesssssss
RépondreSupprimerIl porte des charges importantes sous une chaleur torride, on ressent sa douleur dans la photo où il ferme les yeux.
RépondreSupprimerBon week-end à toi ! Bisous
Résignation, endurance, une vie de travaux pénibles. Je pense à la chanson de Brassens : Pauvre Martin.
RépondreSupprimerCela m'a beaucoup émue , que de poids sur le dos de ce pauvre âne , et ne peut se plaindre ,:-(
RépondreSupprimerUne belle page ... Bon après midi
Ah souvenirs souvenirs: J'aime l'âne si doux marchant le long des houx.../..Ses yeux sont de velours... ( Francis Jammes)
RépondreSupprimerQuand je vois des photos de ces pauvres anes dans les pays comme la Tunisie ou le Maroc cela me fait de la peine , j'en ai vu au Maroc tellement chargés que j'en avais mal au coeur ! Ils ménent une vie dure ! Bisous Andrée
RépondreSupprimerPauvres ânes. Ce sont des martyres, des esclaves.
RépondreSupprimerEncore une preuve du manque d'humanité des hommes.
que de belles photos mais les ânes portent de lourdes charges les pauvres
RépondreSupprimerBonjour,
RépondreSupprimertrès bel article où l'âne et l'homme ont une certaine complicité.
bonne journée
bises
Très beau reportage avec de jolies photos !
RépondreSupprimerUn travail bien difficile pour les hommes et les ânes.
Je ne suis jamais allé en Tunisie, mais j'ai vu les même scènes au Maroc
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