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...
De belles moustaches
Une petite barbe
Du poil dans les narines
Les cheveux dans les yeux
Du poil aux pattes ....
Un amour de compagnon !
Vous ne trouvez pas !
Je l'ai connu à cette exposition :
Le Tinker, connu sous les noms d’Irish cob en Irlande, Gypsy Cob en Angleterre et Gypsy Vanner aux États-unis, est une race chevaline de type cob, provenant des îles Britanniques. Il est sélectionné par les nomades, Travellers d'Irlande et Gitans d'Angleterre, à partir de chevaux de races diverses. Sa fonction est de tracter leurs lourdes roulottes, les verdines.

L ' Irish Cob est l'un des chevaux de race les plus reconnaissables qui soient grâce à son apparence trapue, sa robe généralement pie, son port de tête relevé et fier, sa ligne du dessus et surtout ses crins et ses fanons, très abondants. Il dispose aussi d'un caractère doux et très amical envers l'homme et les autres animaux, qui fait pour beaucoup son succès.
Devenu un cheval familial, il est désormais très populaire comme cheval de loisir et de spectacle. Il est plébiscité en équithérapie et s'adapte à la plupart des disciplines d'équitation. Il reste élevé de manière traditionnelle par les nomades britanniques, qui échangent des centaines de chevaux lors de grandes foires, en particulier celles de Ballinasloe en Irlande et d'Appleby-in-Westmorland en Angleterre. La présence et le charisme de l'irish cob ont entraîné une forte diffusion de son élevage dans une bonne partie de l'Europe, l'Amérique du Nord, l'Australie et la Nouvelle-Zélande.
Les éleveurs nomades britanniques nommaient traditionnellement et simplement leurs chevaux des « Cobs », ou « Coloured Cobs » (Cobs de couleur). Un spécimen particulièrement bon est qualifié de « proper Cob ». Toutefois, le nom de « cob », qui se réfère à un solide cheval aux jambes courtes, indique un type plutôt qu'une race .
Les premiers importateurs de ces chevaux en Amérique du Nord, Dennis et Cindy Thompson, considérant que la race n'a pas de nom véritable, ont souhaité lui en créer un . Dans ce but, ils choisissent « Vanner » qu'ils ont vu employé en référence à la race dans le livre d'Edward Hart en 1993 et l'incorporent dans le nom du régistre américain de la race fondé en 1996, la Gypsy Vanner Horse Society .
Egor van driestof Etalon Elite champion France au national
http://www.chevalmag.com/chevalmag/Jeunes/Races/L-irish-cob
http://www.irishcob-fr.org/irishcob-histoire.htm
Je suis désolée de ne pas vous rendre visite ce soir , mais ce n'est pas la grande forme.
Demain , je prendrai mon temps , pour vous visiter .
Passez une douce soirée .
Communauté " Petit coin du ciel" de chez Mary reprise par Vivi ( clic ) .
C'était hier ...
C'est aujourd'hui !!!!
Ce soir , à 17 heures
Et demain, que sera-t-il ?
Bonne semaine malgré tout !
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Bon dimanche ...
Pour la communauté d' Amartia , clic pour voir les autres participants .
La chandeleur
Faire sauter la crêpe ............ et la rattraper !
Sourire ...... concours de sauts !!
Sera-t-elle rattrapée ?
Noisetier ou "coudrier" dérive du grec "corus", casque, en raison de l'involucre qui coiffe le fruit.
Le nom "Noisetier" est apparu au XVIe siècle. Le nom latin, Corylus avellana, évoque la région montagneuse d'Aveline, en Italie, où abonde le noisetier.
Les fleurs unisexuées sont réunies en inflorescences : les mâles apparaissent à la base des rameaux de l'année, par groupes de 2 à 4 chatons longs de 6-7 cm, pendants et jaunes ; les femelles ne se manifestent que par les stigmates rouges, dressés et sessiles.
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Quand vous serez bien vieille, au soir, à la chandelle,
Assise auprès du feu, dévidant et filant,
Direz, chantant mes vers, en vous émerveillant :
« Ronsard me célébrait du temps que j’étais belle ! »
Lors, vous n’aurez servante oyant telle nouvelle,
Déjà sous le labeur à demi sommeillant,
Qui au bruit de Ronsard ne s’aille réveillant,
Bénissant votre nom de louange immortelle.
Je serais sous la terre, et, fantôme sans os,
Par les ombres myrteux je prendrai mon repos ;
Vous serez au foyer une vieille accroupie,
Regrettant mon amour et votre fier dédain.
Vivez, si m’en croyez, n’attendez à demain :
Cueillez dès aujourd’hui les roses de la vie.
Pierre de Ronsard, Sonnets pour Hélène, 1587
Ouvert à toute heure
Pour tous
Ravitaillement assuré ...
Ah! voilà les graines , j'y vais !
Menu amélioré , avec moquette !
Un régal !
Tout pour moi! Profitons-en!!!!
C'est bon , hein!
Parle pas la bouche pleine!
Oh! Le repas est servi ! C'est curieux comme goût !
Hé, toi, en bas ! Ce n'est pas pour toi! Non mais !!! Pffffffffffff
Et pourquoi! ?
C'est marqué " pour tous " à l'entrée !
Oh ! il y en a par terre ... je vais ramasser !
Eh toi là - haut , tu veux que je monte!! Non mais !
Communauté " Petit coin du ciel" de chez Mary reprise par Vivi ( clic ) .
Grand soleil
Grand ciel bleu
Pas un nuage
Pas de vent
Grande petite , toute petite température !
Oh oui, le soleil brille trop fort, il éblouit, c'est pour ça que je cligne des yeux !
Je voulais vous dire, j'ai retrouvé mon petit vagabond ! Ah ! ces jeunes , quelle témérité ... vouloir découvrir le monde!
Une pensée profonde pour tous ceux de la côte ouest , que ce cauchemar se termine bien vite.
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La journée était ensoleillée
L'atmosphère glaciale
Un feu de cheminée était le bienvenu !
J'ai pris mon panier
Mes pas m'ont conduit
A la forêt toute proche
Pour ramasser des pommes de pin .
En botanique, le cône (du latin conus ou du grec konos, pomme de pin) est l'organe reproducteur des Conifères .
En Suisse romande, on le désigne par le terme pive et dans les Landes de Gascogne, par celui de pigne (de l'occitan pinha, désigne plus précisément la pomme de pin). Au Québec, on l'appelle aussi cocotte. En botanique, il est aussi connu sous le nom de strobile.
Ce n'est pas une inflorescence à proprement parler, car les conifères ( Gymnospermes ) n'ont pas de fleur. Ils sont constitués d'écailles qui se recouvrent les unes sur les autres en partant de la base du cône sur un axe central. Chaque base des écailles contient les organes reproducteurs de la plante. Les cônes mâles sont beaucoup plus petits et éphémères que les cônes femelles. Le cône femelle est plus gros, c'est ce dernier que l'on peut voir dans l'arbre durant toute l'année et que l'on ramasse souvent au sol. Il est plus solide que le cône mâle car il assure la croissance de la future graine du conifère.

Ils contiennent les sporanges où se déroulent la méïose et la production de spores. Les cônes mâle produisent des spermatozoïdes tandis que les cônes femelle produisent des oosphères. On dit que les conifères sont hétérosporés.
Mais chaque arbre présente habituellement les deux types de cônes. Les cônes mâles produisent des petits spores qui deviendront des gamétophytes mâles. Les cônes femelles sont plus gros et plus complexes que les cônes mâles et renferment les ovules.
Pour la plupart des arbres, les cônes mâles et femelles poussent sur des branches différentes. Les cônes mâles poussent sur les branches inférieures de l'arbre tandis que les cônes femelles se situent sur les branches supérieures . Cette disposition permet de croiser les fécondations. En effet, comme le pollen a peu de chance de monter vers les cônes femelles, la fécondation se fait normalement par un autre arbre.
Après la fécondation, les cônes femelles restent sur l'arbre au moins trois ans, temps qu'il faut pour que la graine se développe. Les gros cônes femelles ne sont plus alimentés par la plante mère et la sécheresse du cône provoque l'ouverture des écailles. Les écailles s'écartent du rachis central du cône libérant les graines qui sont le plus souvent ailées. Cette aile leur permet de parcourir de longues distances grâce au vent. On parle d'anémophilie . Cela permet à l'espèce de conquérir de nouveaux espaces.
Et voilà, mon panier est rempli
Je vais pouvoir allumer ma cheminée !
Je vous souhaite un bon dimanche .
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Pour la communauté de Patricia , le premier de chaque mois .
Le grésil ......
Il y a quelques jours
Un matin , très tôt,
Une forte gelée avait emprisonné
La nature endormie et léthargique .
Cette gelée était particulière ,
Elle était parsemée , joliment ,
De petites boules blanches ,
C'est du moins , ce que je croyais
En regardant de loin !
Le grésil est une précipitation formée de pluie totalement gelée après être passée dans une couche épaisse d'air sous 0°C. Les grains de glace ne dépassent pas 5 mm de diamètre, sont généralement sphériques, et rebondissent . Techniquement parlant, le grésil est formé de granules de glace .

En général, le grésil se forme avec un système météorologique synoptique (une dépression) où de l'air doux surmonte une épaisse couche froide près du sol. La neige qui tombe dans la masse d'air au-dessus du point de congélation va fondre. Cependant, en repassant dans la couche froide, les gouttes regèlent en granules . On obtient alors des granules translucides qui rebondissent sur toute surface où ils tombent.
Le grésil est généralement une période transitoire entre la neige et la pluie verglaçante. Il indique une situation dangereuse en altitude puisque qu'on y retrouve des gouttes de pluie surfondue qui peuvent geler au contact d'un aéronef et causer du givre . Au sol, ce type de grésil est en général peu dangereux bien que glissant. Cependant, comme il est très dense, il est très difficile de l'enlever à la pelle, surtout si les accumulations sont importantes au sol.

Il existe une seconde catégorie de grésil, il s'agit de gouttelettes de pluie surfondue dans un nuage convectif comme un cumulus bourgeonnant. Ces gouttes condensent éventuellement lorsque la température dans le nuage est trop basse ou lorsqu'elles rencontrent un noyau de congélation comme un flocon de neige . Cependant, le trajet dans le nuage n'est pas assez long pour qu'elles atteignent un diamètre important par accrétion. Si le niveau de congélation est élevé, elles fondront avant de retomber au sol. Ce niveau doit donc être assez près du sol, sans l'atteindre, pour que de petits granules de glace subsistent à la chute et tombent en averses. Il s'agit donc d'un type de précipitations qui se voit surtout au printemps et à l'automne.

Au sol, l'occurrence de ce phénomène météorologique particulier est attestée anciennement par le mot lui-même entré au dictionnaire de l'Académie depuis 1694, et sans modification importante depuis, vraisemblablement à cause de son image sonore descriptive immédiatement reconnaissable, croisée à l'aspect visuel.
Le grésil grésille, et son grésillement qui se rapproche d'un crépitement ou d'un bruit de friture, le différencie des autres bruits ( neige , grêle ...).
Un petit croquis ...
Neige Grésil Pluie verglaçante Pluie
Rouge : couches chaudes
Bleu : couches froides
Je vous souhaite un beau mois de février .
N' oubliez pas de faire sauter les crêpes le 2 !